vendredi 28 septembre 2007

Oncle ben à l'Opus Café

Notre soulman Old school préféré, Oncle Ben sera en concert à l'Opus Café (Paris Xème) le 28 septembre à 20h. Il sera accompagné de nombreux guest : Laure Milan, Rony, EiLiJaH et bien d'autres.

Vous pouvez retrouvez notre univers artistique en général et musical en particulier sur notre MySpace : www.myspace.com/oanisha

Vente privee Zenka Influence 28 et 29 octobre 2007

L'UNIVERS ZENKA : La rue aux mille visages

"La môme du textile", tel pourrait être le surnom d'Alice Lefort, qui pêche son inspiration au coeur de son quartier et des ambiances urbaines de Ménilmontant.

Depuis 2005, sous la griffe Zenka Influence, cette jeune créatrice habille la rue de ses couleurs africanesques et de ses formes métissées.

La marque Zenka (ruelle sombre en arabe) s'imprègne des quartiers dits "populaires". Ces lieux de diversité culturelle.
Dans l'agitation citadine, les créations Zenka Influence se portent, se vivent, bougent, se détachent et s'imprègnent de l'aspect brut des surfaces urbaines.

Zenka traverse cette univers rythmé de rencontres et d'échanges.

Passant de l'Afrique à l'Asie, les tissus traditionnels et les couleurs vives et naturelles, proposent un voyage de découverte par l'imprégnation des traditions, des rituels, l'ouverture des sens.

Les traditions urbaines aux accents cosmopolites nourrissent l'univers de Zenka Influence.

DE 13H A 20H
AU 19 RUE DE L'ERMITAGE 75020 PARIS
METRO JOURDAIN OU MENILMONTANT

BRADERIE DE LA COLLECTION ETE DE 40 A 70 %
VENTE DE LA NOUVELLE COLLECTION AUTOMNE HIVER

www.zenka-influence.com
www.myspace.com/zenka_influence

lundi 24 septembre 2007

Anita Roddick nous a quitté

Fondatrice de la société The Body Shop, Anita Roddick est décédée il y a quelques jours à l'age de 64 ans. Elle avait montrée et démontrée que l'on pouvait faire du business dans le respect des autres et de la planète.

Anita avait largement inspiré notre vision du business et des responsabilités qui l'accompagne, et nous avions déjà eu l'occasion de parler d'elle sur notre blog. Elle manquera cruellement à notre petite planète.

www.anitaroddick.com

jeudi 20 septembre 2007

Salon du gospel : les 22 et 23 septembre 2007


Le Gospel, cela ne se passe pas que dans les églises aux Etats-Unis ou dans les films Le Gospel - expression de la Foi chrétienne - représente à la fois une histoire et une culture, un état d'esprit, un mode de vie. C'est surtout une musique qui apporte joie, bonheur et bien-être à toutes et à tous. Une musique émouvante qui touche petits et grands, croyants et non croyants, accompagne les moments marquants de notre vie personnelle (mariages, baptêmes ...) ainsi que tous types d'événementiels, des concerts aux séminaires d'entreprises avec un succès grandissant.

Le Salon Du Gospel a donc été pensé, conçu et réalisé à destination de tous les amateurs - éclairés ou non - et professionnels faisant vivre cette musique. Ecouter, échanger, voir, discuter, découvrir, s'informer, comparer seront donc les maîtres mots utilisés tout au long de cette manifestation qui, nous l'espérons, permettra tant aux visiteurs de découvrir le Gospel sous toutes ses facettes, qu'aux exposants de pouvoir présenter leurs produits et services.

La Première Edition du Salon Du Gospel s'est déroulée les 15 et 16 avril 2006 à l'Espace Saint-Martin. Si vous n'avez pu avoir la chance d'être présent(e), nous vous invitons à consulter les documents disponibles sur le site. Quoi qu'il en soit, sachez que le meilleur reste à venir !...

La Deuxième Edition du Salon Du Gospel vous donne rendez-vous dans un cadre prestigieux et exceptionnel, celui du Carrousel du Louvre les 22 et 23 septembre 2007 : 2500 m² seront dédiés à des conférences, showcases, défilés de mode, mariages Gospel, ateliers de chant etc. pour vous offrir un programme toujours plus riche et diversifié.

Pour cette deuxième édition, Salon du Gospel s'agrandit d'une thématique mariage : vous pourrez retrouver dans la programmation les bijoux de Divinéa, les savons artisanaux de Swanee et biensûre, le catalogue d'Oanisha.

jeudi 13 septembre 2007

Marie-Claire N°667 : Mes cheveux sauvés par le bio

Depuis l'arrêt momentané (?) de Shenka, je me sens orpheline côté magazine féminin. J'adorais son côté éthnique et chic qui le différenciait des autres féminins aussi bien"éthniques" que généralistes.

Je ne suis pas une grande fan de presse féminine car je passe mon temps sur les sites web, les forums et les blogs en fait. Mais depuis quelques jours, je tombe régulièrement dans le métro sur l'affiche du numéro d'octobre de Marie-Claire.

Au programme : Beauté "Mes cheveux sauvés par le bio" mais aussi Société "la mode est-elle raciste ?" ...

Cette couv' me titillait tellement les neurones (et l'afro) que depuis trois jours je me pointais chaque matin au Relay de ma station de métro : "Bonjour monsieur, Avez-vous reçu le dernier Marie-Claire ?", j'ai aussi essayé le kiosque du coin, au monop', en banlieue ... enfin bref je l'ai enfin trouvé ce matin. Il pèse une tonne !
J'ai littéralement dévoré les articles cités plus haut et j'ai eu en prime un article sur Rama Yade (on aime ou on aime pas ... personnellement je ne comprends pas où cette charmante personne veut en venir, son histoire est, à mon humble avis, truffé de paradoxes ... et trop de paradoxes ... moi ça me m'irrite. J'y vois de l'opportunisme. Mais peut-être me fera-t-elle mentir.)

L'article "Mes cheveux sauvés par le bio" m'a vraiment rassuré sur le positionnement et l'évolution du catalogue Oanisha, notamment sur nos deux axes de développement: les soins de coiffeur et les soins capillaires biologiques.
Sylvie Charrier explique que les fabricants de soins capillaires "conventionnels" substituent de plus en plus les silicones et autres parabens par des ingrédients issus de l'univers végétal.
"Les spécialistes sont unanimes : élaborer des produits à base de plantes ne s'improvise pas. Trouver les bonnes espèces, savoir en tirer la substantifique moelle et réussir à les associer dans des formules confort, puis prouver leur inocuité et leur efficacité exige un réel savoir faire et peut demander des mois, voire des années de mise au point". Attention donc aux apprentis chimistes et aux distributeurs peu scrupuleux.
Les produits capillaires certifiés bio ont eux aussi le vent en poupe : "non toxique, sans parabens, sans silicones, biodégrables et non testés sur les animaux", ils doivent être composés à 95 % d'ingrédients d'origine naturelle, dont 10% d'origine bio pour le label cosmebio.

Il est aussi question de coloration végétale, du mythe de la mousse des shampoings (trop de mousse ... tue le cheveux ! qu'on se le dise), de recettes maisons ... un très bon article.

Le second article sur le racisme dans la mode est également très édifiant et mérite un article pour lui tout seul. D'autant plus que Marie-Claire vous propose de réagir sur son site.

Donc à demain

mercredi 12 septembre 2007

La collection Alwan - Made in Algérie expose chez Ethik Concept / So&So

Le Samedi 15 septembre de 13h30 à 19h30, Ethik Concept, Alawan et l’association F.E.D.A (Femmes Et Développement en Algérie) vous invitent à découvrir des créations dont les étoiles sont l’harmonie culturelle tournée vers l’avenir et l’équité commerciale…

En avant première la collection de prêt à porter Alwan.


ainsi que les couleurs et les saveurs méditerranéennes : Expo photo, vidéo, objets d’artisanat traditionnels et contemporains, thé et douceurs…

Attention : Séries limitées !!!

mardi 11 septembre 2007

Ethik Concept / So & So


La boutique Ethik Concept / So&So
FORUM DES HALLES
Espace créateurs - Boutik 404
(Porte Berger – Niv.-1)
11-13 Grand Balcon (BP 123) 75045 Paris cedex 01

A l'origine du projet : une jeune femme d'origine malienne du nom d'Aïssata Tounkara qui est née et a grandi à Argenteuil. Aïssata est la lauréate nationale du concours “Talents des Cités - Emergence” 2006 initié par le ministère de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement et co-organisé avec le Sénat et différents partenaires institutionnels et privés.
Opération phare dans la politique de dynamisation des quartiers, le concours « Talents des Cités » récompense depuis 2002 des femmes et des hommes qui porte des projets de création d’entreprise dans des quartiers défavorisés.

Ethik Concept / So & So a ouvert ses portes en mai 2007 et propose des produits variés (prêt-à-porter, objets de décoration, bijoux, accessoires de mode, produits de soins esthétiques, épicerie, etc.) issus notamment du commerce équitable, d’associations à but humanitaire, fabriqués par des jeunes des quartiers, par des créateurs des pays du Sud, des personnes œuvrant dans les chantiers d’insertion, CAT, etc.

Vous y trouverez les créations d'Iboqueen, d'Ankhré, de Bezem et Mailan et bien d'autres encore.

Ethik Concept s’inscrit dans le champ de l’économie sociale et solidaire et se veut être une entreprise d’insertion par l’activité économique, afin de permettre à des personnes peu qualifiées de suivre un parcours de formation en « commerce-vente » au sein de l’entreprise, en vue d’un futur emploi durable sur le marché classique du travail. La volonté est de soutenir les initiatives créatrices d’emploi via des échanges équitables Nord/ Sud mais aussi Nord /Nord.

ETHIK CONCEPT soutient la diversité de la création artistique pour un monde plus juste et un commerce conscient et alternatif !

lundi 10 septembre 2007

Traditions de beauté des Comores par Byshara

Au cours de nos pérégrinations myspaciennes, nous rencontrons chaque jour des gens qui nous inspirent.
Byshara est professeur de danse africaine et de Ragga dance hall, et mannequin à ces heures. Elle nous a fait le plaisir de partager un peu de sa culture comorienne et malgache avec nous.

"Aux Comores, les femmes se mettent tous les soirs un masque d'argile. Peut-être avez-vous déjà eu l'occasion de voir des femmes comoriennes dans des documentaires : elles ont souvent une pâte jaunâtre sur le visage, c'est de l'argile !

La bas, chaque femme a sa pierre d'argile qu'elle frotte contre une autre pierre tous les jours. Puis elle mélange cette poudre à de l'eau pour obtenir son masque quotidien.
Le temps de pause varie de 3h à toute la journée !
Mais lors de mon dernier séjour, j'ai vu que la poudre d'argile se vendait deja toute faite, "modernisation quand tu nous tiens..."


Sinon , nous nous lavons les dents avec des bâtons de "Siwak", c'est la branche d'un arbre mais je ne saurai te dire lequel, en tout cas cela rend les dents extra blanches et colore les lèvres et les gencives. Bon ça pique un peu, mais c'est pour la bonne cause !


Et pour les cheveux , elles se coiffent régulièrement avec l'huile de noix de coco qui nourrit et qui rend les cheveux brillants et souples ! Elles obtiennent cette huile en faisant bouillir du lait de coco. Ensuite elle le laisse refroidir. Le lait se divise en deux partie: une crème assez rigide et grasse - qui est l'huile en fait - et l'eau. Elles récoltent cette huile et y ajoute des fleurs de tiaré qu'elles ont pilé et fait sécher. Le résultat est une huile de coiffage très raffinée !"

Si vous aussi vous souhaitez nous confier vos secrets de beauté traditionnels ... n'hésitez pas à nous les communiquer à l'adresse info@oanisha.com

vendredi 7 septembre 2007

Aïssa Maiga : belle au naturel

Quel plaisir de retrouver la belle Aïssa Maiga ce soir chez Denisot !

Divine dans son ensemble noir, la démarche chaloupée, le sourire radieux et l'afro ... Quelle afro ! Vaporeuse, magestueuse, sexy.

C'est simple, on l'adore parce qu'elle est belle et naturelle évidement mais aussi parce que, malgré son abonnement aux seconds rôles, elle a su montrer son talent et s'imposer à force de travail. Elle est persévérante cette fille !

Son père est malien et sa mère sénégalaise. Elle vie en France depuis l'âge de 4 ans et se passionne dès le lycée pour le théâtre. Denis Amar lui donne son premier rôle au cinéma dans Saraka Bo en 1997. A 32 ans, Aïssa a déjà une filmographie de qualité. Elle est dirigée en 2005 par Mickael Anneke (Caché), par Claude Berri (L'un reste l'autre part) et par Cédric Klapisch (Les Poupées russes). En 2006 ce sont Philippe Lioret (Je vais bien ne t’en fais pas) et Olivier Assayas (Paris je t’aime - 2006) qui lui confient des courtes apparitions.

Dans les bonus du DVD des Poupées Russes, Cédric Klapish commente une série de scènes coupées autour du personnage de Kassia, la vendeuse de vêtements dont s'entiche Xavier.
Dans ces scènes, on en apprend plus Kassia. Ce personnage donne une nouvelle dimension au questionnement sur l'amour de Xavier.
Comme ce personnage, Aïssa Maiga, intrigue parce qu'elle est encore trop rare. On aimerait en savoir plus, la voir plus, l'entendre plus ... parce qu'elle a quelque chose de nouveau à donner. Alors Monsieur Klapish si vous tombez par (un très grand) hasard sur ses lignes, moi j'aimerai bien revoir la Kassia des scènes coupées.

Sa plus belle apparition reste pour moi son rôle dans le magnifique Bamako sous la direction de son compatriote Abderrahmane Sissako et aux côtés de la militante altermondialiste Aminata Traoré. Sissako explique pourquoi il a choisi de mettre en scène un procès dans son film : "La vraie question est là : aucune juridiction n'existe pour remettre en question le pouvoir des plus forts. Il ne s'agissait pas tant de désigner les coupables que de dénoncer le fait que le destin de centaines de millions de gens est scellé par des politiques décidées en dehors de leur univers [...] Je voulais donc donner de mon continent une autre image que celle des guerres et des famines. C'est en cela que la création artistique est utile, non pas pour changer le monde, mais pour rendre l'impossible vraisemblable, comme ce procès des institutions financières internationales."

Aïssa est passée de l'autre côté de la caméra le temps d'un court métrage "Il faut quitter Bamako" à sortir prochainement.

D'ici là : retrouvez Aïssa dans le court métrage "Mamadou il est où ?" de la jeune réalisatrice Khady N'DIAYE sur Myspace.

Le pitch : MARIETTOU, une jeune sénégalaise, accepte la demande en mariage de son fiancé MAXIME, un français. Mais elle appréhende de l’annoncer à sa famille qui vit au Sénégal.
Lorsqu'elle décide d'appeller sa mère AMINATA, cette dernière comprend que sa fille va épouser un certain MAMADOU, et le quiproquo s'installe... jusqu'au jour du mariage !

MAMADOU IL EST OU ? est un hymne à la tolérance et contre les préjugés, présenté sous forme de comédie.

Dès le 12 septembre Aïssa sera à l'affiche de L'âge d'homme, Maintenant ou jamais de Raphaël Fejtö avec Romain Duris.

Le pitch : Samuel a 30 ans. Ex-célibataire endurci, il vit depuis un an avec une photographe, Tina, mais au moment de s'engager, il prend peur.
Il se donne vingt-quatre heures pour décider s'il va rompre ou non avec cette femme qu'il aime, persuadé qu'elle le quittera tôt ou tard.
A ses côtés, Samuel peut compter sur Jorge et Mounir ses confidents attitrés.
Quelle sera l’issue de cette course contre la montre pour devenir un homme ?

jeudi 6 septembre 2007

L'ère de la différenciation

Selon Méïssa, une amie porteuse de projet, nous avons un besoin naturel d'être entouré d'objets personnels, originaux, uniques qui nous différencient des copains. Nous avons simplement besoin de nous sentir différents.

Avec l'ère industriel et la standardisation des biens de consommation, nous sommes entrés dans une société où l'uniforme est la norme. La production de masse et la mondialisation ont accéléré cette homogénéisation du mode de vie et de consommation, de la culture etc...

Que l'on habite Ouagadougou, Paris, Tokyo, Moscou, New york ou Rio de Janeiro : on regarde les mêmes séries TV et les films au ciné, on lit les mêmes bouquins, on porte les mêmes marques de jean, on écoute la même musique et les mêmes artistes, on se meuble chez Ikéa et on mange tous ... des sushies ou du Poulet Yassa.... hein ? Ok, je caricature ... et pas qu'un peu... Mais n'y a-t-il pas un peu de vrai ?

Depuis quelques années, le phénomène s'inverse : le besoin de se différencier supplante celui de se fondre dans le groupe.
Le boom des loisirs créatifs montrent un besoin à la fois de créer pour s'exprimer et le besoin d'accéder à l'unique. Alors on se remet toute au tricot ou au crochet, au dessin ou à la musique. On scrapbook tout ce qui nous passe sous la main. Et quand on ne sais pas faire ... on trouve des passionnés pour le faire rien que pour nous.

Des sites marchands se spécialisent dans la customisation en ligne de produits diverses et variés.

  • Pour personnaliser vos T-shirts rendez-vous chez la Fraise ou T-shirt store.
  • Si vous êtes plutôt PC que Mac et que vous ne supportez plus le gris, le noir et le "blanc boooof" - que dis-je le "blanc beurk" - vous pouvez customiser votre ordinateur portable et votre lecteur MP3 chez Sheep me, Stick me ou encore Laptop custom. Le principe est simple, il suffit de coller un sticker sur la coque de l'appareil. Plusieurs designs sont proposés. Vous pouvez aussi vous lancer dans la production de votre propre visuel. Le sticker est amovible, vous pouvez le changer aussi souvent que vous le voulez sans endommager l'appareil.
  • Idem pour les murs et les meubles avec les stickers de Hala Salem de Graphik Candies (chez Decofinder).
  • Notre trouvaille du week-end ... chez IKEA : les portes de bibliothèques à customiser. En verre transparent, elles fonctionnent comme un cadre : on peut y mettre des photos, du tissus, les dessins des enfants ... C'est toujours la même bibliothèque mais elle change à volonté d'apparence. Qui dit mieux ?
  • Notre dernier coup de coeur sur cette thématique : Les shoes de Mathieu Missiaen, alias Ndeur. Ce jeune graphiste français de 25 ans vivant à Toronto a eu la bonne idée de customiser des chaussures pour en faire de véritables oeuvres d'art.
    Sous les coups de marqueurs de Ndeur, les escarpins les plus sages deviennent des fresques urbaines et colorées aux accents pop et hip-hop et aux influences graffiti, street art, BD. Ndeur propose aussi des t-shirt et des baskets pour bébé ... So cut !
    Pour commander rendez-vous sur sa boutique Etsy et bientôt son site web www.ndeur.com

dimanche 2 septembre 2007

La méthode No Poo III : En savoir plus

Le No Poo a trouvé son lieu de prédilection sur internet où vous ne manquerez pas de trouver des témoignages de son efficacité sur des blogs ou des forums. Voici nos liens favoris :

Du côté des blogs on adore :
  • les albums et le blog Cheveux sauvages de Pyogazel
  • le skyblog our-hair à visiter absolument si vous cherchez des idées de coiffures. Our-hair publie régulièrement des photos de "naturelles" plus belles les unes que les autres. Finie l'afro de Papa, oubliée l'afro Black Panther. Place à des formes féminines, sages, modernes, sexy, rétro ... et même une version punk rock très tendance.

    Les métamorphoses de l'afro Lil'fa montrent le potentiel des cheveux crépus.

  • Nilou , Ambre, Kalawangue proposent des recettes de cosmétiques éthiques et faits maison à base d'huiles végétales et d'huiles essentielles.

et bien d'autres encore...

(photos publiées avec l'aimable autorisation de l'auteur)

samedi 1 septembre 2007

Divinéa expose du 1er au 15 septembre chez June


Nous avons craqué sur les bijoux de DiviNéa que nous vous proposons sur la boutique Oansiha depuis l'ouverture.

Du 1er au 15 septembre, vous pourrez rencontrer la créatrice DiviNéa et voir ses nouvelles pièces dans la très belle boutique de June shop au 13 villa Saint Michel 75018 Paris M° Guy Moquet ou La Fourche sur la ligne 13 (tourner au niveau du 46/48 av de Saint Ouen).

June est la contraction de Julie et Nelly. Ce duo de créatrices autodidactes est à l'origine d'une ligne de prêt-à-porter associant à la fois les textiles traditionnels africains (wax, bogolans et bazins) et occidentaux ( velours, satins, jeans ou soies).

Le résultat est un véritable "melting mode" mirroir de leur complémentarité mais peut-être aussi de leur ouverture au monde et à sa richesse culturelle.

"Nous réinventons des coupes venues du monde entier – kilts, robes flamenco, kimono ou encore cols mao – en les adaptant à des créations plus contemporaines. Nous avons ainsi développé une large gamme de vêtements constituée de pièces uniques aux couleurs chatoyantes. JUNE habille tous les styles de femmes et propose des tailles allant du 36 au 50."


L'originalité des créations de June : les vêtements sont réversibles dévoilant d'un côté le tissu occidental uni et de l'autre le côté africain.
L'objectif : faire dépasser les préjugés sur le tissu africain et le sortir du carcan de vêtement d'été dans lequel il est enfermé.


Pour en savoir plus et découvrir d'autres images de la collection :

ESPACE JUNE SHOP
13 villa Saint Michel 75018 Paris
M°Guy Moquet ou La Fourche l.13 ( tourner au niveau du 46/48 av de Saint Ouen )
Ouvert du lundi au samedi de 10h30 à 19h00
www.juneshop.net
http://www.myspace.com/juneshop