jeudi 13 septembre 2007

Marie-Claire N°667 : Mes cheveux sauvés par le bio

Depuis l'arrêt momentané (?) de Shenka, je me sens orpheline côté magazine féminin. J'adorais son côté éthnique et chic qui le différenciait des autres féminins aussi bien"éthniques" que généralistes.

Je ne suis pas une grande fan de presse féminine car je passe mon temps sur les sites web, les forums et les blogs en fait. Mais depuis quelques jours, je tombe régulièrement dans le métro sur l'affiche du numéro d'octobre de Marie-Claire.

Au programme : Beauté "Mes cheveux sauvés par le bio" mais aussi Société "la mode est-elle raciste ?" ...

Cette couv' me titillait tellement les neurones (et l'afro) que depuis trois jours je me pointais chaque matin au Relay de ma station de métro : "Bonjour monsieur, Avez-vous reçu le dernier Marie-Claire ?", j'ai aussi essayé le kiosque du coin, au monop', en banlieue ... enfin bref je l'ai enfin trouvé ce matin. Il pèse une tonne !
J'ai littéralement dévoré les articles cités plus haut et j'ai eu en prime un article sur Rama Yade (on aime ou on aime pas ... personnellement je ne comprends pas où cette charmante personne veut en venir, son histoire est, à mon humble avis, truffé de paradoxes ... et trop de paradoxes ... moi ça me m'irrite. J'y vois de l'opportunisme. Mais peut-être me fera-t-elle mentir.)

L'article "Mes cheveux sauvés par le bio" m'a vraiment rassuré sur le positionnement et l'évolution du catalogue Oanisha, notamment sur nos deux axes de développement: les soins de coiffeur et les soins capillaires biologiques.
Sylvie Charrier explique que les fabricants de soins capillaires "conventionnels" substituent de plus en plus les silicones et autres parabens par des ingrédients issus de l'univers végétal.
"Les spécialistes sont unanimes : élaborer des produits à base de plantes ne s'improvise pas. Trouver les bonnes espèces, savoir en tirer la substantifique moelle et réussir à les associer dans des formules confort, puis prouver leur inocuité et leur efficacité exige un réel savoir faire et peut demander des mois, voire des années de mise au point". Attention donc aux apprentis chimistes et aux distributeurs peu scrupuleux.
Les produits capillaires certifiés bio ont eux aussi le vent en poupe : "non toxique, sans parabens, sans silicones, biodégrables et non testés sur les animaux", ils doivent être composés à 95 % d'ingrédients d'origine naturelle, dont 10% d'origine bio pour le label cosmebio.

Il est aussi question de coloration végétale, du mythe de la mousse des shampoings (trop de mousse ... tue le cheveux ! qu'on se le dise), de recettes maisons ... un très bon article.

Le second article sur le racisme dans la mode est également très édifiant et mérite un article pour lui tout seul. D'autant plus que Marie-Claire vous propose de réagir sur son site.

Donc à demain

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